La prise en compte de l’eau dans les Objectifs de Développement Durable (ODD) de l’ONU (Organisation des Nations Unies) se justifie par son caractère vital pour l’ensemble de la biosphère et en particulier pour le développement humain ce qui necessite un suivi de la qualité de l’eau. 

Les bases de l’évaluation de la qualité de l’eau sont constituées par deux piliers : la qualité physico-chimique (température, bilan d’oxygène, salinité, état d’acidification et concentration en nutriments) et la qualité biologique s’appuyant sur l’étude des organismes vivants présents, végétaux et animaux. Une eau en bon état est une eau qui permet une vie animale et végétale riche et variée, une eau exempte de produits toxiques, une eau disponible en quantité suffisante pour satisfaire tous les usages et toutes les activités humaines.
Malheureusement, le suivi de la qualité de l’eau demande du temps et des moyens humains et financiers importants qui ne sont pas au rendez-vous, ce qui se traduit par un manque de données régulièrement réparties dans l’espace et dans le temps.

Le projet SENS’EAU vise à acquérir des connaissances spatiales et temporelles fines quant à l’impact du changement climatique sur les surfaces d’eau d’une métropole à travers une démarche participative.

Article complet et auteurs

Pour télécharger l’article complet : InSitu n°39 – SENS’EAU

Découvrez le groupe Eau et durabilité

François BERNIER, Directeur de la Maison pour la Science Alsace, Professeur à l’Université de Strasbourg (francois.bernier@maisons-pour-la-science.org)

Pierre FECHTER, Chargé de Recherche CNRS, UMR7242, (p.fechter@unistra.fr)

Eléa HEBERLE, Chargée de mission pour la Maison pour la Science Alsace (elea.heberle@maisons-pour-la-science.org)

Anne PALLARÈS, enseignante chercheuse à l’Université de Haute-Alsace, Université de Strasbourg, CNRS, laboratoire ICube, UMR7357 (anne.pallares@unistra.fr)

Guilhem PERRIN, étudiant en première année de master gestion de l’environnement à l’Université de Lorraine (gperrin.pro@outlook.fr)